27 décembre 2007
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15:03
Interview très intéressante de Marc-Antoine Pérouse de Monclos, chercheur à l'Institut de Recherche pour le Développement, sur le site de Libé aujourd'hui.
Je vous invite à le lire, pour résumer il rattache l'affaire de l'Arche de Zoé à une dérive marketing : quand l'offre supplante la demande. L'Arche de Zoé à voulu trouver au plus vite des enfants pour répondre aux attentes de ses donateurs, alors que dans l'humanitaire on ne sollicite les donateurs qu'une fois les dégats évalués... C'est ce qui aurait poussé l'Arche à faire passer ces enfants pour des orphelins et à leur faire de faux bandages, pour les faire sortir au plus vite...
Le sujet est très intéressant, seul gros point noir de cet article, son titre !
"Dans une logique marketing, l'enfant orphelin est la cible qui se vend le mieux"
Alors la, gros problème en effet !
En marketing, tout comme en communication (puisqu'il en est question), la cible, c'est ceux à qui on s'adresse.
On ne peut donc pas vendre une cible ! Je ne sais pas si c'est le journaliste ou le chercheur, mais une telle boulette dans le titre, alors que le sujet traite de marketing et de communication, c'est plus que touchy !
J'ai eu beau lire et relire le titre, je ne comprenais pas... Alors peut-être que c'est parce que j'ai fait des études et que je travaille en com / market, que pour moi une cible ne peut pas se vendre, mais apparemment, je ne suis pas la seule à avoir tique (cf commentaires sur site)
Je vous invite à le lire, pour résumer il rattache l'affaire de l'Arche de Zoé à une dérive marketing : quand l'offre supplante la demande. L'Arche de Zoé à voulu trouver au plus vite des enfants pour répondre aux attentes de ses donateurs, alors que dans l'humanitaire on ne sollicite les donateurs qu'une fois les dégats évalués... C'est ce qui aurait poussé l'Arche à faire passer ces enfants pour des orphelins et à leur faire de faux bandages, pour les faire sortir au plus vite...
Le sujet est très intéressant, seul gros point noir de cet article, son titre !
"Dans une logique marketing, l'enfant orphelin est la cible qui se vend le mieux"
Alors la, gros problème en effet !
En marketing, tout comme en communication (puisqu'il en est question), la cible, c'est ceux à qui on s'adresse.
On ne peut donc pas vendre une cible ! Je ne sais pas si c'est le journaliste ou le chercheur, mais une telle boulette dans le titre, alors que le sujet traite de marketing et de communication, c'est plus que touchy !
J'ai eu beau lire et relire le titre, je ne comprenais pas... Alors peut-être que c'est parce que j'ai fait des études et que je travaille en com / market, que pour moi une cible ne peut pas se vendre, mais apparemment, je ne suis pas la seule à avoir tique (cf commentaires sur site)
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